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Un adolescent de Montréal parle de son parcours avec l’acné

L’adolescence peut s’avérer être une période peu commode pour les jeunes, surtout lorsque leurs hormones s’emballent et causent des problèmes de peau visibles comme l’acné. Jay*, 18 ans, ne sait que trop bien combien la vie peut être difficile avec une affection chronique de la peau.

« J’ai commencé à avoir de l’acné vers l’âge de 14 ans », se souvient l’adolescent de Montréal. « Je ne m’en faisais pas trop au début, mais avec le temps, les poussées de boutons me dérangeaient lorsque je me regardais dans le miroir. J’ai remarqué que j’étais le seul à être aux prises avec un problème de peau dans mon groupe d’amis et je trouvais cela injuste. »

Après avoir d’abord refusé l’offre de sa mère de consulter un dermatologue, Jay accepte de prendre un rendez-vous.  

« Le dermatologue a prescrit des antibiotiques et d’autres médicaments qui fonctionnaient parfois, et parfois ne fonctionnaient pas », explique Jay. « Mon acné s’améliorait pendant une courte période, mais redevenait visible au bout de quelques semaines. L’acné ne se trouvait que sur mon visage et ma situation n’était pas aussi grave que ce que je voyais en ligne, mais cela m’embêtait quand même au point de vouloir m’en débarrasser pour de bon. »

Jay, adepte du jiu-jitsu et de lutte, a rapidement appris qu’une routine quotidienne de soins de la peau était également déterminante pour gérer son acné.

« Durant mon adolescence, la pratique de sports de contact faisait en sorte que mon acné avait l’air considérablement pire certains jours », dit-il. « J’avais l’impression de retourner à la case départ chaque fois que je revenais d’un entraînement. Le dermatologue a recommandé des produits pour la peau contre l’acné en vente libre pour nettoyer mon visage et traiter mes boutons après chaque séance d’entraînement. »

Jay encourage les adolescents aux prises avec l’acné à en parler avec leurs amis, un proche ou un professionnel de la santé, surtout si leur peau les empêche d’avoir confiance en eux et de faire des activités au quotidien.

« Personne ne veut avoir de l’acné, et je remercie ma mère pour la prise de rendez-vous avec les dermatologues, les recherches sur les différentes options de traitements et son soutien sur mon parcours », dit Jay. « On pense qu’on peut se débrouiller tout seul, mais les défis sont toujours plus faciles à surmonter avec l’aide d’une personne qui se soucie de nous. »

*Pseudonyme

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